Série LAdultère : Alexandra (Partie 8 Hugo, Le Jeune Serveur Du Restaurant « Au Plaisir Gourmand ».3/4
Je mappelle Alexandra. Petit récapitulatif : Je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à Armand un riche industriel de18 ans mon ainé qui mavait fait deux beaux s. Comme je vous lavais déjà expliqué lors de mon premier récit, jétais un ancien mannequin occasionnel posant pour de la lingerie féminine. Mes formes étaient avantageuses : 1,69 m pour 58 kilos, une poitrine 85B. Avec mes cheveux ondulés châtains, coupés assez courts, mon visage, mes yeux bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire beaucoup dhommes se retournaient sur mon passage ou les plus téméraires me faisaient carrément la cour. Encore aujourdhui, jai conservé ma silhouette de mannequin.
Je croyais vraiment aimer mon mari, mais aujourdhui, cela ressemblait plus à de lamitié, à de laffection en compensation de tout ce quil mavait apporté, professionnellement et sentimentalement. Javais toujours assumé mes devoirs conjugaux et même si je navais pas dorgasmes foudroyant, je prenais un certain plaisir dans ces actes sexuels quil me faisait vivre, je parvenais à succomber dans ses bras. Si les joutes amoureuses étaient régulièrement de trois fois par semaines, Armand ayant passé la soixantaine, était beaucoup moins performant au lit, celles-ci sétaient espacées et à mon plus grand désarroi, elles étaient aujourdhui dune seule fois par semaine, voire même tous les quinze jours, souvent les samedis soir après un repas au restaurant ou après les sorties mondaines chez lun ou chez lautre, de ses connaissances hauts-placés.
Bien entendu, nos relations sexuelles, étaient devenues, elles aussi une routine, rien ne venait me surprendre pour donner un peu de piquant. Cétait toujours le même rituel toujours dans le lit conjugal, je me couchais toujours avant lui et ma chemise de nuit était loin dêtre sexy. Lorsquil arrivait auprès de moi, je mallongeais sur le ventre et dès quArmand sallongeait de trois-quarts à mes côtés, je lui demandais de me masser le dos.
À partir de là, voyant que je ne pourrais plus le faire patienter longtemps, je lui demandais un massage de fesses, il était si doux et ses mains si expertes, il parvenait à atteindre mon intimité et la faire mouiller quelques peu, javais du désir. Cétait toujours à ce moment que je me plaçais de trois-quarts et plaçais mes fesses contre son sexe durci. Après avoir saisi ma poitrine et avoir pincé mes tétons, il soccupait de mon ventre puis ses doigts sinsinuaient dans ma petite culotte et caressait ma vulve et mon clitoris. Cétait le moment que je choisissais pour enlever ma culotte et attendait quil fasse de même, je savais, grâce à mes caresses sur sa verge quil nallait pas résister longtemps à lintérieur de mon vagin. Il caressait alors délicatement ma fente devenue humide afin de finir de la préparer puis introduisait son pénis raide et me pénétrait doucement, ce qui marrachait un léger soupir, jondulais mes fesses contre lui. Je gémissais et lui disait doucement : « Vas-y mon chéri. » Transporté, il me pressait contre lui plus fort. Aussitôt, je savais quil ne tiendrait plus, avec un petit cri, je marc-boutais contre lui en enfonçant mes ongles dans sa cuisse. Mon homme, en râlant, libérait sa semence dans mon ventre, son visage enfoui au creux de mon épaule. Jen avais fini, jétais satisfaite, javais mon compte sans avoir pris un véritable orgasme, je pensais que cela me suffisait, mon plaisir était là et Armand était content davoir satisfait son épouse.
Jétais donc une femme comme beaucoup dautre, sincèrement, je croyais que je navais pas besoin dautres relations sexuelles pour être heureuse et épanouie, mon mari mapportait suffisamment. Je ne pensais pas être portée sur le sexe, mais depuis ma première liaison adultère pendant les vacances dété, Gaël, le maitre-nageur avait réveillé en moi ce petit plus qui me brulait les entrailles, javais connu avec lui la vraie jouissance. Dès septembre, ma vie avait repris ses droits, avec toute la routine en somme, travail, s, mari, était mon quotidien.
Néanmoins, depuis quelques temps, inconsciemment, je recherchais du piment à ma vie. Je lavais trompée et javais pris un tel plaisir que je ne le regrettais pas et nhésiterais pas à renouveler lexpérience, sans toutefois le rechercher vraiment. Mais si loccasion se représentait, pourquoi pas. Six mois plus tard, je ne me souvenais pas en quinze ans de mariage, davoir désiré un autre homme que mon mari.
Ce matin-là, nous étions en février, étant la secrétaire dArmand, je fis entrer deux jeunes ingénieurs dans son bureau. Ils étaient venus présenter leur projet à mon mari afin de trouver un investisseur. Le midi, ils nous avaient invités au restaurant. Le « plaisir gourmand » était beaucoup moins chique que ceux que nous fréquentions habituellement mais beaucoup plus intime. Nous étions installés dans un endroit calme car les négociations nétaient pas encore terminées.
Lorsque le serveur était venu prendre la commande de lapéritif, je crus tomber à la renverse, il ressemblait comme deux gouttes deau à Gaël mon maitre-nageur, le type dhomme même qui me faisait fantasmer. Je métais vite rendu compte, que lui aussi avait flashé sur moi, il narrêtait pas de me regarder et de me sourire. Jétais assise à côté dArmand et le jeune trentenaire en face de moi, laissait son collègue discuter avec mon mari pendant que lui me parlait. Je compris quil ne savait pas que jétais lépouse du patron, vu notre différence dâge mais uniquement sa secrétaire quil aimerait bien mettre dans son lit
En effet, mine de rien, il me draguait ouvertement pendant que le serveur me regardait.
Je me suis levée pour aller aux toilettes, en le fusillant du regard, je pensai quil avait compris quil ne fallait surtout pas me suivre. En passant devant le petit comptoir, le serveur minterpella :
Vous cherchez les toilettes Madame ? Cest de lautre côté, suivez-moi.
Excusez-moi de vous importuner, jeune homme, avez-vous un frère ? Gaël ?
Non Madame, moi cest Hugo, pour vous servir. Jai vu que ce Monsieur vous importunait, voulez-vous que jintervienne ?
Non Hugo ! Vous êtes gentil mais je sais me défendre. Moi, cest Alexandra.
Et ce monsieur cest votre patron.
Cest mon patron, je suis sa secrétaire. Merci Hugo.
En revenant, je demandai à mon mari dintervertir les places, javais prétexté vouloir être contre le mur pour éviter le courant dair de la climatisation. Pendant le restant du repas, le jeune ingénieur navait plus continué à me toucher la jambe ou le pied, même sil insistait en posant son regard sur moi, il avait réintégré la discussion avec son collègue et Armand. Hugo quant à lui, entre deux clients, me souriait, je le trouvais très beau mais je navais aucun moyen de lapprocher, je savais quil allait se passer quelque chose entre nous. Mais la situation était bien plus périlleuse que pendant les vacances.
Je ne sais pas ce quil se passait dans ma tête, ni dans mon ventre, mais jétais submergée par des vagues de désir qui augmentaient devant cet étalon de vingt-cinq ans.
Oh, non, rien, ne tinquiète pas mon amour, cest probablement le vin blanc. Dis-je en retirant discrètement ma main. Je nai plus faim, et toi ?
Nous finissions le dessert, Hugo me regardait, je lui souris une énième fois, javais pris une décision, je ne savais pas si elle était la bonne, mais je devais la tenter. Je métais excusée pour me diriger une nouvelle fois aux toilettes, je ne le quittais pas des yeux, jespérais quil me comprenne mais ne voulant pas rater le coche, en passant devant lui je lui susurrai à loreille :
Rejoins-moi aux toilettes.
Sans attendre sa réponse, je filai vers les WC. Hugo nen revenait pas, il avait dû me prendre pour une vraie salope. Il avait certainement raison car aucune femme dite normale agirait de la sorte. Lui aussi de me voir ainsi, lavait mis dans un état dérection maximale. Depuis mon arrivée, il navait pensé quà moi, me voyant nue dans ses bras en train de me faire lamour. Quelques instants plus tard, il entra à ma suite.
Alexandra, dit-il dune voix essoufflée. Vite, je travaille.
Ferme la porte derrière toi.
Hugo me pris dans ses bras et membrassa furtivement, il navait que peu de temps. Il me retourna, je me retrouvais face au mur, javais les mains sur le carrelage. Ses mains se posèrent sur mes seins puis alternaient entre les flancs, le ventre puis revenaient sur ma poitrine pour la caresser et la malaxer. Mon cur battait fort dans ma poitrine, de son bassin il me poussait, je sentais son sexe en érection contre mes fesses, je me frottais contre lui en remuant le bassin. Une de ses deux mains se trouvait sous ma jupe, ses doigts avaient pris possession de ma chatte mouillée par lexcitation, je me mordais les lèvres, jattendais quil me prenne là, maintenant dans ces toilettes.
je me mis à geindre et à soupirer fortement, plaquer contre le mur je tremblais de peur et dexcitation. Sa main gauche parcourait ma cuisse droite jusquà ma fesse, pendant que lautre me caressait le clitoris et me faisait frissonner. Hugo releva enfin ma jupe, je ne bougeais plus, ma respiration saccélérait. Il membrasait dans le cou, javais la tête en arrière tant ça me faisait du bien. Je me cambrais afin de sentir encore plus, sa queue contre mon cul. Un de ses doigts sinsérait de nouveau en moi, je gémissais
Tu aimes ?
Jacquiesçai de la tête, je nen pouvais plus, je voulais le sentir en moi, quil me prenne sauvagement. Il déboutonna son pantalon et le laissa tomber sur ses jambes et dun geste précis, il écarta le fin tissu de mon string et plaça sa douce bite sur ma vulve, je frissonnais. Il appuya ses mains sur mon dos afin que je me baisse et tendre mon derrière, mes mains glissèrent le long du carrelage. Il me pénétra sans plus attendre, je le sentais dans mes entrailles aller et venir, des petits flux de cyprine suintaient à lextérieur. Il était profondément ancré dans mon vagin, le remplissant entièrement puis se retira lorsque mon orgasme me fit « crier en silence ».
Il enleva son préservatif et laissa son sperme jaillir en sétalant sur mes fesses pour dégouliner dans ma raie, souillant ainsi mon string. Il prit un mouchoir en papier sessuya puis en prit un autre pour nettoyer mes fesses. Ce fut très bref, mais très intense, je me sentais vidée mais en même temps, javais envie de recommencer.
Il membrassa sur la joue, me remercia, se rhabilla et quitta les lieux. Je sortis après mêtre refaite une beauté, frustrée de navoir connu quun orgasme, en espérant de tout cur que je puisse un jour, jouir de nouveau avec ce jeune serveur. En retournant à table, Hugo finissait de nous apporter les tasses de café, lorsque dans la conversation je dis aux deux ingénieurs :
Nous serions heureux avec mon mari Armand de poursuivre dans notre discussion dans nos locaux.
Le trentenaire et Hugo me regardèrent comme deux ronds de flanc. Le serveur se précipita pour retourner débarrasser les tables pendant que le jeune ingénieur sexcusa. Les trois hommes quittaient létablissement, lorsque je mapprochai dHugo qui ne croyait plus me revoir, javais glissé dans sa main, un billet de 20 euros et mon numéro de portable personnel.
Lorsque la réunion fut terminée, Armand me demanda pourquoi le jeune ingénieur sétait excusé se doutant de ce qui avait pu se produire :
Tu vois Alex, il faut peut-être que tu changes tes tenues vestimentaires, elles sont bien trop aguichantes.
Pourquoi dis-tu cela mon chéri ? Il mavait simplement touché le pied. Que vas-tu encore imaginer, arrête tes crises de jalousie.
Je vois bien tous ces hommes te regarder avec de mauvaises pensées. Tu es si belle, cest normal quil te mate.
Et comme ça tu crois que je te trompe ? Lui dis-je en le prenant pas le cou. Cest toi que jaime, jamais je ne ferai ça.
Laprès-midi même, je reçu un texto dHugo qui minvitait chez lui. Il était libre avant de reprendre le service du soir. Moi, je ne létais pas et avec la petite crise de jalousie dArmand, javais refusé sa proposition. Je continuerai à vous conter la suite, dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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